[Exclusivité] Ishtar Sr. – Johnson’s Plight (Vidéo)
Le rap prend de plus en plus d’espace dans la ligne éditoriale de MEFD et ce n’est pas les parutions de qualité qui manquent dans ce style récemment. Alors que Ishtar Sr. laissera paraître leur tout premier album Divine Ecdysis le 21 mai prochain via Grimalkin Records, nous avons la chance de vous présenter en exclusivité le vidéoclip de la pièce Johnson’s Plight. Projet solo de l’artiste de Philadelphie Savan DePaul, Ishtar Sr. combine rap et R&B à des rythmiques électroniques entraînantes et à une essence afrofuturiste forte et remarquable.
Arrivant au milieu de cet album aux mille et unes couleurs et saveurs, Johnson’s Plight s’attaque au thème de l’infiltration et de la délation dans une ambiance détendue, mais l’intensité s’élève peu à peu pour arriver à une conclusion plus rythmée et percutante. Arborant une esthétique psychédélique et colorée, le vidéoclip nous laisse en compagnie de Savan qui navigue au travers ce déferlement polychrome avec aisance et appoint!
La précommande de l’album est disponible à partir d’aujourd’hui au LIEN suivant. L’artiste recevra 75% des ventes du format digital alors que le 25% restant sera remis au fonds d’entraide de Grimalkin. Pour leurs parts, les profits amassés pour la vente de cassettes seront remis à Project SAFE. Basé à Philadelphie, l’organisme mené par des femmes, des personnes non-binaires, trans et de non conformité de genre offre des services aux personnes impliquées dans l’économie de la rue à Kensington. Finalement, la vente des vinyles seront remis au fonds de Gr. Bon visionnement, bonne écoute et FUCK 12!
Pour précommander l’album qui paraîtra le 21 mai, c’est ICI!
Pour suivre Ishtar Sr. sur les réseaux sociaux : Bandcamp – Facebook – Instagram – SoundCloud – Twitter
Texte officiel de l’album:
Ishtar Sr. aka Savan DePaul (they/them, he/him) is a Gr collective member based in Philadelphia, PA. The Ishtar Sr. project birthed itself out of the need to embrace their identity and experiences in their totality. They embraced it all, from the bodily autonomy right down to the ruthless interrogation of everything they’ve seen, done, and internalized. 2020 ended up being the complete unveiling of this alternate musical persona alongside a couple of EPs and singles, but it all started with a collection of demo recordings made in late 2017 to early 2018. These original demos for Divine Ecdysis acted as their entry point into an openly queer outlook; as they evolved into fully fledged songs and they evolved personally, their vision began to sharpen.
Standing in at 16 songs and stretching 46 minutes, Divine Ecdysis highlights this personal journey while observing the experiences fellow queer/trans people see. The album’s sci-fi/mythological bend nestles various odes to gender-nonconformity, sexual autonomy, queer acceptance, and self reflection. Amidst these major themes the listener can find reflections on poverty (“Jazz House Exit”), snitch infiltration (“Johnson’s Plight”), oppressive/exploitative hierarchies (“2700”, “Operation Cocoon Kill”) and much more. They handled the bulk of the production and engineering, and the various guest artists and producers added their unique touches to complete the recipe. Divine Ecdysis knowingly arranges itself into a wholly Afrofuturist musical excursion.