[Recommandation] Lorn – Remnant
De ce qui est sans doute le plus immuable dans les cultures humaines, ce sont les cérémonies. Comme un pied de nez à l’intarissable temps qui passe ainsi qu’au colonialisme capitaliste 2.0 qui envahit les sociétés.
De ce qui est sans doute le plus immuable dans les cultures humaines, ce sont les cérémonies. Comme un pied de nez à l’intarissable temps qui passe ainsi qu’au colonialisme capitaliste 2.0 qui envahit les sociétés.
On entend souvent que les contraires s’attirent. Il faut bien se l’avouer, c’est fréquemment vrai. La complémentarité d’éléments qui semblent, de prime abord opposés, est un pari risqué, mais gagnant au final, de par la densité qui se crée au contacte de ses pôles.
L’Orient est un imaginaire, place névralgique dans l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes, un détour pour revenir au soi. Partir en quête d’Orient serait alors figuré comme l’idée de partir pour se retrouver.
L’attente pour la 19e édition du MUTEK Montréal est officiellement amorcée suite au dévoilement d’une première vague prometteuse de 28 projets.
Les genres. Théories parfois fumeuses, parfois nécessaires pour catégoriser, classer, se rassurer? Rien n’y échappe. On invente des mots pour définir l’émergent, on invente des définitions pour tenter de comprendre l’inconnu. Moodie Black, ça ressemble à une histoire de liberté et d’émancipation dans toutes ces considérations.
« J’aime l’autorité du noir. C’est une couleur qui ne transige pas. Une couleur violente, mais qui incite pourtant à l’intériorisation. À la fois couleur et non-couleur. Quand la lumière s’y reflète, il la transforme, la transmute. Il ouvre un champ mental qui lui est propre. » – Pierre Soulages
Quand le hip-hop se désunit de ses arrangements usuels, c’est toute une perspective qui s’ouvre. Une vivifiante brèche dans laquelle cette liste de lecture s’est engouffrée pour dénicher une musique industrielle et noise, la plus souvent survoltée et essentiellement inspirée.
Principalement connu pour avoir été l’un des claviéristes du mythique groupe Nine Inch Nails, en plus de s’inscrire dans une kyrielle de projets, Alessandro Cortini a développé une discographie solo depuis 2013 avec six sorties.
Pour en arriver là, à être étendu inerte sous les décombres, il aura fallu que les vibrations ne tarissent jamais, que les rythmiques ne cessent leurs fracas, que les ondes dansent sans la moindre discontinuité.
«Nous n’avons aucun attachement pour les genres ou les classements, mais plutôt envers le bruit de l’harmonie, l’harmonie du bruit et l’âme des personnes qui font ce bruit.» Résumé que l’on peut lire de la philosophie du label anglais Gizeh Records.
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