[Scène française] Christine Ott – Chimères (pour ondes Martenot)
Avec près de 25 ans d’activité dans le vaste monde de la musique, la réputation de Christine Ott n’est plus à refaire.
Avec près de 25 ans d’activité dans le vaste monde de la musique, la réputation de Christine Ott n’est plus à refaire.
« J’aime l’autorité du noir. C’est une couleur qui ne transige pas. Une couleur violente, mais qui incite pourtant à l’intériorisation. À la fois couleur et non-couleur. Quand la lumière s’y reflète, il la transforme, la transmute. Il ouvre un champ mental qui lui est propre. » – Pierre Soulages
Pour en arriver là, à être étendu inerte sous les décombres, il aura fallu que les vibrations ne tarissent jamais, que les rythmiques ne cessent leurs fracas, que les ondes dansent sans la moindre discontinuité.
C’est lors de l’écriture de notre dernière recommandation présentant l’excellent Mondkopf que j’ai réalisé qu’aucune musicienne n’avait été mise de l’avant jusqu’à présent, et cela malgré une quinzaine d’articles avec cette thématique. La seule artiste féminine ayant eu de la visibilité était Christina Sealey du duo canadien Orphx, il fallait évidemment rectifier la situation.
Après la parution de son quatrième album intitulé Hadès en 2014, le musicien toulousain Paul Régimbeau avait pris la décision de remiser son projet personnel Mondkopf. Ses multiples participations à des groupes comme Autrenoir, Foudre!, Oiseaux-Tempête et Violent Magic Orchestra prenaient la majorité de son temps et de sa motivation.
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