[Recommandation] Jennifer Touch – Chemistry
Au détour d’une page web ou grâce aux suggestions des plateformes musicales, un océan de découvertes s’offre à nous au quotidien, pour le meilleur et pour le pire.
Au détour d’une page web ou grâce aux suggestions des plateformes musicales, un océan de découvertes s’offre à nous au quotidien, pour le meilleur et pour le pire.
La neige tombe lentement du ciel grisonnant, le vent fait frissonner les arbres. Pendant ce temps, la musique de Sjors Mans résonne dans la pièce où je me trouve et s’entremêle avec délicatesse à l’ambiance qui y règne.
Paru en avril 2018, le premier EP de Non-Lieu était malheureusement passé sous silence chez MEFD malgré notre grand intérêt pour la formation basée à Québec. En voyant leur nom sur la percutante affiche que Prod H nous offre le 9 février prochain, il était temps de remédier à la situation.
Parfois, un simple coup d’œil sur une pochette est suffisant pour nous absorber entièrement. Ce contact initial avec l’œuvre du musicien parisien Kai Reznik est la première étape d’une série d’incidents qui nous acheminera progressivement aux abords de notre conscience.
Vous en conviendrez, il est très ironique d’écrire à propos d’un album dédié au désert du Thar en plein mois de novembre montréalais. La lueur totalement absente et le froid omniprésent n’offrent certainement pas les conditions idéales pour une écoute adéquate de Crossing The Wasteland.
Avec son esthétique très particulière, la pochette de Vade Mecum n’avait pas réussie à retenir mon attention au premier coup d’œil. L’idée préconçue qui habitait mon subconscient sur le rendu musical du projet allait pourtant être balayée du revers de la main par une efficacité des plus meurtrières.
Il est extrêmement ironique de rédiger la chronique de cet album durant la seule journée pluvieuse des dernières semaines. La raison en est bien simple, Promenade est une création rayonnante qui s’accorde parfaitement avec un verre de votre alcool favori et un balcon ensoleillé.
Quand notre vie bat de l’aile, que nous avons du mal à y voir clair, il est important de nous rappeler qu’il y a toujours une personne quelque part qui vient de composer un album parfait pour nous remettre sur les rails. Le mien fut sans équivoque Détachement de l’artiste montréalais Dominique Carrier.
Je pensais pendant un moment qu’il me serait difficile d’apercevoir un projet français qui diffère des nombreuses suggestions techno-ambiantes qui enrichissent mes fils d’actualités et animent mes jours et nuits.
Ce que vous allez lire ci-dessous est le fruit d’une collaboration entre une formidable DJ et productrice montréalaise et plusieurs membres de notre équipe de mélomanes électroniques toujours prêt·e·s à vous transmettre sa passion.
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