[Exclusivité] Kháos on Gaïa – Faun (Vidéo)
Union interstellaire entre Jbaâl (Arozza, Mazzeri, Traître Câlin) et Torhia, le nouveau duo du nom de Kháos on Gaïa fait aujourd’hui ses premières étincelles grâce au fantastique clip du morceau Faun.En marge de la parution de leur album The Cage prévu pour le 17 mai prochain via Atypeek Music et HAU RUCK!, les deux artistes révèlent quelques indices de leur sonorité folk mystique. Ce vortex hypnotique nous immobilise grâce à son drone pulsatif mené par un chant envoûtant et un tambour fallacieux. Cette musique d’outre-tombe fascine et inquiète, elle agit comme un sable mouvant sur conscience. Disons que les images cycliques de la vidéo ne font rien pour aider à nous ramener sur Terre. Bref, on s’y perd avec joie, bonne écoute!
Pour précommander l’album qui paraîtra le 17 mai, c’est ICI!
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Biographie de l’artiste:
Formé en 2019, le duo Kháos on Gaïa, entité multiface aux couleurs Trip-Hop et aux sonorités Dark Folk, nous invite à plonger au coeur de nos ombres.
C’est l’histoire d’une rencontre synergique entre Torhia, à la voix envoutante portée par son tambour chamanique et Jbaâl avec l’énergie brute et magnétique de ses machines.
Parmi les influences directes qui ont forgé la mythologie musicale du duo, on retrouve les accents tribals électro de Fever Ray mêlées à des sonorités déchirées qui rappellent l’esthétique sombre de How To Destroy Angels. Les mélodies puisant au plus profond de l’âme, sont teintées des univers de femmes à la voix hors du temps telles que Björk ou Tori Amos, et sont mises en lumière par des riffs sensuels et forts à la Massive Attack.
Avec ce premier album intitulé The Cage se dessine 8 paysages intimes. Tel un écho, ce disque crépitant fait résonner en nous avec nostalgie toute l’authenticité de la décennie 90, hantée par l’essence nébuleuse de l’avenir incertain qui nous attend.
Faun en est la quintessence. Une mélodie antique, un rythme guerrier soutenu par l’intensité du tambour chamanique et des synthés incisifs appellent à un éveil écologique. Annabel Lee nous fait ensuite basculer dans une esthétique baroque et de la prose d’Edgar Allan Poe naît une longue envolée lyrique.
Enfin Stay Safe, nous invitant à sombrer loin au large, dans les méandre du subconscient, alors que ses progressions nous laissent à la dérive, nous entraîne dans les abîmes.
Entre ombres et lumières, The Cage nous offre une tempête d’émotions, une odyssée mélancolique en chansons.