[Festival] Forte (2018)
C’est avec beaucoup de nostalgie que nous écrivons ces lignes, il y a déjà plus d’une semaine que nous avons quitté la magnifique et chaleureuse ville de Montemor-o-Velho où se tenait le Festival Forte au Portugal.
C’est avec beaucoup de nostalgie que nous écrivons ces lignes, il y a déjà plus d’une semaine que nous avons quitté la magnifique et chaleureuse ville de Montemor-o-Velho où se tenait le Festival Forte au Portugal.
Soyons honnête, le festival MUTEK c’est un peu comme le Noël des fanatiques de musique électronique. Ce rendez-vous annuel est toujours rempli de surprises de taille et de moments magiques. Chaque type de mélomanes y trouve son bonheur à travers les différents concepts offerts par l’équipe de programmation.
Les festivités ne sont pas terminées, il est bientôt l’heure de s’échapper vers d’autres terres dansantes! L’événement que l’on attendait fébrilement débutera ce jeudi au Portugal, entre les murs d’un ancien château de Montemor-O-Velho.
J’ai découvert l’étiquette mexicaine N.A.A.F.I. grâce à l’édition 2017 du MUTEK Montréal alors que la soirée du jeudi à la SAT leur était consacrée. Je n’ai malheureusement pas eu la chance d’y assister, mais ma curiosité était piquée et je n’ai pu m’empêcher de faire des recherches à propos de ce flamboyant collectif.
Ce merveilleux sentiment qui s’éveille en vous lorsque vous découvrez une perle rare, un morceau que vous ferez jouer en boucle pour les semaines à venir… C’est ce que m’a procuré l’écoute de Mouvements, entame de l’album La région centrale de Visions Of.
Bien que j’aie aperçu le nom de Reine de France à de nombreuses reprises dans les notifications de notre compte Instagram, cela ne m’évoquait rien de spécifique et je n’avais jamais pris de temps pour me familiariser avec ce projet montréalais. Le moment était donc désigné pour percer ce mystère.
À la première écoute de son album Kirke paru à la fin 2017, j’ai tout de suite senti qu’il y avait quelque chose de particulier avec le musicien Timothée Maire, quelque chose d’unique.
Chaque année, le mois de juin annonce l’arrivée d’une nouvelle édition du festival Suoni Per Il Popolo. Bien que l’organisation soit active durant l’année entière, l’événement apporte une certaine frénésie sur un segment de la rue Saint-Laurent.
Je dois l’avouer, il y a de cela quelques semaines, je ne connaissais toujours pas Laura Krieg. J’ai pourtant eu la chance de la voir inconsciemment sur la scène de la Sala Rossa en décembre dernier aux côtés de Johnny Couteau.
Depuis quelques années, les parutions sous l’étiquette Don’t Be Afraid éveillent toujours une certaine fébrilité chez moi lors de leur sortie. L’énergie et la qualité sont deux éléments qui reviennent à chacune des nouvelles offrandes, ce qui rend l’écoute exaltante.
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